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Espace Dijon : compte-rendu de l’assemblée du 12 mars 2015

dimanche 29 mars 2015

Les membres de la délégation académique de Dijon étaient invités à se rendre au lycée Jacques Amyot d’Auxerre pour une assemblée générale d’étape. Comme à chaque rencontre, il s’est confirmé la nécessité pour nous de prendre le temps de nous rencontrer et d’échanger à la fois sur des thèmes prédéterminés, mais aussi sur des questions plus immédiates.

Présents : Sarah Chamberland, Odile Loaec, Frédérique Lemaitre, Fabien Thorel, Emmanuel Rodot, Patrick Gallet, Isabelle Luond, Sabrina Péchinot, Catherine Turpin, Christophe Gaudillat et Frédéric Brut.

Excusés : Marie-José Bourgeois, Sylvaine Dulard, Pascale Janaudy

Ordre du jour :

  1. Compte rendu de l’audience auprès du secrétaire général d’académie et des bureaux nationaux
  2. Avancement des travaux en groupe de travail
  3. Relation ordonnateur / comptable, formalisation, réunions de bassin
  4. Echanges autour de l’avancement des comptes financiers
  5. Questions diverses

Le rendez vous au lycée Jacques Amyot était fixé à 9 h 30. Après un petit café pour désengourdir les collègues qui avaient accompli un long chemin, la réunion commence à 10 h 00.

1) Compte rendu de l’audience auprès du secrétaire général d’académie et des bureaux nationaux

Les comptes rendus des BN sont lus directement sur le site Espac’EPLE. Aucun commentaire ne semble nécessaire.

Christophe et Frédérique reprennent leur compte rendu d’audience auprès du secrétaire général, M. Bohn. Une digression tourne autour de l’adhésion à l’association et de sa matérialisation. Peut-être il y a-t-il besoin d’une carte ? L’idée est d’avoir le sentiment d’appartenir à un groupe, à une profession qui se rassemble et pour ce faire, de le formaliser par un document, à préciser, qui serait à l’en-tête de l’association.

La conversation continue ensuite sur les raisons de l’adhésion et l’utilité de cette adhésion. Pourquoi adhère-t-on à Espac’EPLE ? Fabien Thorel évoque l’importance d’adhérer et de fédérer un réseau de comptables. La réponse n’est pas de court terme. Cela correspond à un lieu d’échange et d’entraide, mais aussi un élément de représentation corporatiste.

Retour sur l’audience et sur le fait que l’association est un interlocuteur valable. Il manque l’impression de prolonger la relation avec le secrétariat général.
La réflexion est menée sur l’aspect concret de l’adhésion, autour des échanges de pratiques. Sarah Chamberland évoque son besoin d’échange et son absence de confiance dans les procédures qu’elle a pu mettre en place, qui serait remédiée justement par ces échanges. Il se confirme donc que cet échange de pratiques est nécessaire et qu’il faut persévérer et dépasser les blocages.

Pratiquement, dans le prolongement de l’audience et dans la perspective de la réunion des comptables organisé par le rectorat le 30 mars, il faut que l’association aborde certains points :

  • La formation des comptables (particulièrement les indicateurs). Au-delà de l’implication des collègues, il faut des intervenants extérieurs. C’est à l’institution à définir les besoins de formation, non aux responsables de formation ou aux formateurs.
  • La politique de remplacement des gestionnaires, des comptables et des personnels d’agence comptable. Création d’une équipe mobile qui assurerait des interventions ponctuelles en établissement. Aborder l’importance de la stabilité d’une équipe.

Dans le cadre de l’assemblée générale académique du 18 juin, il faut prévoir un temps d’intervention sur les échanges de pratiques dans le cadre du recouvrement (deux heures ou un peu plus), plutôt l’après midi.

Le découpage de cette journée serait le suivant : vie de l’association (retour sur l’AG nationale) – intervention d’un représentant du rectorat (?) – intervention de personnalités extérieures autour du recouvrement (universitaire, huissier, banque de France) – repas – échanges de pratiques sur le recouvrement (faire intervenir 3 ou 4 collègues au travers desquels chacun pourra s’appuyer, améliorer ses procédures ou se conforter dans la procédure en place) – retour des groupes de travail.

2) Avancement des travaux en groupe de travail

Partage des pratiques et informations entre comptables : une enquête a été envoyée auprès des collègues sur l’échange de pratiques. Toutes les réponses sont positives sur le principe de l’échange. Il faut définir les thèmes qui vont intéresser les collègues, puis travailler sur des produits finis.

Se pose la question de la plateforme sur laquelle auront lieu les échanges. Enfin, faut il faire un produit fini ou mettre en commun l’ensemble des documents élaborés séparément sur la plate forme choisie ? Peut-être faut il compiler comment chacun a initié le CIC ?

Sur la démarche du groupe de travail : relance des collègues. Dégagement d’un thème autre que le recouvrement et une invitation au mois de mai pour travailler sur le thème.

Plate forme d’information au sein de l’agence comptable : Christophe Gaudillat propose la solution Liberscol. Simple d’utilisation elle permet de voir qui a consulté l’espace. La présentation est écourtée du fait des difficultés de connexion mais elle déchaîne l’enthousiasme.

3) Relation ordonnateur-comptable, formalisation, réunions de bassin

Cet échange reprend la discussion initiée lors du bureau académique du mois de février. Comment la relation entre comptable et l’ordonnateur s’organise-t-elle au sein des différentes agences comptables ?

Une solution proposée, c’est la visite sur place tous les ans. Cela permet une mise au point sur le travail, la présentation du calendrier de gestion, la relation au moment du COFI, etc.

Comment cela se passe-t-il quand le gestionnaire dysfonctionne ? Pourquoi faut il attendre un dysfonctionnement pour que le contact s’établisse ? Frédérique Lemaître évoque son expérience d’organiser une réunion d’agence comptable avec les chefs d’établissement et les gestionnaires.

Certains bassins pensent faire venir les comptables sur des thèmes particuliers.
Le parcours de formation de l’ESEN crée maintenant un module de formation pour les personnels de direction sur la question comptable, avec un comptable et un ordonnateur. Ils semblent donc plus intéressés à ces questions. L’idée est de rester sur le dimensionnement de l’agence comptable. Au-delà de celle-ci cela paraît plus difficile.

4) Echanges autour de l’avancement des comptes financiers

  • Présentation de COGEFI
  • L’effet positif de l’extourne est souligné dans la vitesse d’avancement des comptes financiers.
  • Les collègues inscrits regrettent de ne pas avoir eu la formation sur les indicateurs financiers avant les comptes financiers. Des notions sont encore floues.

5) Questions diverses

Un huissier est en liquidation. La restitution des dossiers qui n’ont pas été travaillés par l’huissier défaillant peut elle être refusée ? La responsabilité de l’huissier peut-elle être engagée ? La chambre des huissiers peut-elle en prendre la charge ? Certains dossiers peuvent être reversés à d’autres études. Mais quid des dossiers les plus anciens, comment savoir si le précédent huissier n’a pas déjà encaissé de l’argent sur les créances en cours ? Il reviendra sans doute aux débiteurs d’apporter la preuve qu’ils ont déjà payé tout ou partie de la créance.

Sur le recouvrement, la Saône-et-Loire peut adresser directement un titre exécutoire à la CAF et bénéficier du paiement. Se pose aussi la question de notre droit à émettre des avis à tiers détenteur. Il est précisé qu’un collègue de l’association est en train de travailler sur la question pour que cette possibilité nous soit accordée.

La réunion se clôture à 12 h 30 par un repas. Merci au gestionnaire et aux équipes du lycée de nous avoir accueillis.