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Bureau national du vendredi 12 octobre 2012 Bureau national du vendredi 12 octobre 2012

samedi 27 octobre 2012, par Etienne André

Le bureau national était aimablement accueilli par notre collègue du lycée Fénelon de Paris 6e.

A 10 h 10, le président ouvre la séance, six personnes sont présentes et une septième arrivera plus tard. Participent à ce bureau : Etienne André (Créteil, webmestre), Karine Chartier (Poitiers), Dominique Debec (Versailles), Martine Gaboreau (Poitiers), Bernadette Goyheneix (Versailles), Nicole Roux (Rouen), Fabien Thorel (Orléans-Tours, président). Le président souhaite la bienvenue aux membres dont c’est la première participation à un bureau national, et remercie ceux qui ont fait l’effort d’un long trajet pour cette réunion.

Sont excusés : Sébastien Jouannic (Versailles), Nathalie Ferdinand (Caen), Colette Bourgeois (Aix-Marseille)

Ordre du jour : siège de l’association ; point sur le développement ; feuille de route pour l’année scolaire ; début de l’organisation de l’assemblée générale de l’été 2013 ; questions diverses. En l’absence du trésorier, un point précis sur les adhésions n’est pas possible, mais la campagne de renouvellement des cotisations ne fait que débuter.

Siège de l’association

Il est actuellement fixé à la mairie de Soissons, c’est handicapant parce que pas mal de courriers parviennent là-bas alors que nous n’y avons plus de relais direct garanti. Il n’est pas souhaitable de s’installer dans un EPLE pour les mêmes motifs. Le bureau se propose de demander en premier lieu à notre ministère de tutelle (via la DAF), et à défaut la DGFIP, l’ACP, voire l’AFCM. Si le ministère ne souhaite pas donner suite, en bonne logique on ne devrait pas non plus demander à ses services déconcentrés, une demande auprès d’un rectorat ne semble donc pas de mise.

Le point sur le développement dans les académies

Poitiers : Martine Gaboreau présente le travail réalisé en Charente où depuis deux ou trois ans, les comptables se rencontrent pour échanger sur les pratiques professionnelles. Après l’annonce sur le site d’Espace de la création de la délégation, des collègues des autres départements se sont manifestés. Du temps a été perdu parce qu’il n’y avait pas de bulletin d’adhésion facile à trouver sur le site, mais ce problème est réglé depuis le 9 octobre.

Une AG académique est en cours d’organisation pour décembre, avec la DGFIP si possible, mais Martine Gaboreau a du mal à y trouver un interlocuteur. Des collègues nous trouvent par le site, et à l’occasion de réunions à la région (lycées) Karine Chartier a pu faire la promotion de l’association. Il y a aussi des collègues motivés arrivés dans l’académie par mutation. Il y a une quarantaine de comptables dans l’académie.

À Orléans-Tours, 70 % d’adhérents sur les 64 comptables, 10 membres vraiment actifs dans le bureau. On n’essaie pas de réunir tout le monde tout le temps. On s’efforce d’avoir un représentant de chaque département au bureau académique ; le président académique n’est pas le correspondant au bureau national. Ensuite, chacun dans son département tente d’apporter une animation, et une visibilité globale par le rectorat et les autres partenaires. L’un des départements de l’académie demeure toutefois relativement impénétrable.

À Clermont, Julien Eydoux, membre fondateur de l’automne 2010, donne de ses nouvelles, il a été pris mais espère lancer une dynamique académique

Nicole Roux a un contact à Nantes : un certain nombre de collègues partis dans cette dernière académie sont connus des membres du bureau.

À Lille, un collègue s’est manifesté, un autre à Nice, des conseils ont été prodigués pour encourager le lancement des premières rencontres. Des collègues partis à Nice sont connus des membres du bureau, mais nommés sur des postes difficiles, et donc peu disponibles.

À Rouen, il a été tenté de décentrer les réunions sur Le Havre, mais sans grand succès. Il est difficile de se partager les responsabilités. L’association y comptait 19 adhérents (dont deux départs cet été) sur 42 comptables dans l’académie. Il est nécessaire de fortement relancer les adhérents, même les membres du bureau : en effet, les collègues syndiqués sont membres, mais ne s’impliquent pas pour ne pas nuire à la neutralité de l’association à l’égard des syndicat. C’est raisonnable, mais cela prive Espace de la capacité d’initiative de nombre de gens. L’académie a prévu de reconnaître spécifiquement les postes de collaborateurs de l’agent comptable, avec un profil de technicien comptable et peut-être même un régime indemnitaire particulier.

À Versailles, pas de possibilité d’utiliser les formations RCBC comme à Orléans-Tours. On aimerait reprendre les audiences, mais trois postes de secrétaire général de DSDEN sont non pourvus. Une réunion générale francilienne est envisagée pour janvier. 40 adhérents sur 160 comptables.

Créteil : l’organisation des réunions est fragile, on tente de tenir deux rencontres par an. Une audience au SG a enfin été faite, et devrait pouvoir se faire dans les prochaines semaines.

Etienne André a tenté une expérience encore inédite : accompagner un collègue lors d’une remise de service qui s’annonçait comme difficile. Préalablement les membres du bureau qu’il avait contactés avaient confirmés que cela rentrait bien dans l’objet de notre association. Toutefois il a rencontré une difficulté inattendue : le rectorat était représenté aussi à cette remise de service, et la présence de l’association n’était pas naturelle au collègue dépêché à cet effet. Les audiences auprès de la hiérarchie sont donc bien un préalable pour rendre ce type d’opération possible.

Les réunions départementales semblent adaptées dans pas mal de cas, sachant qu’elles sont forcément ouvertes à tous. Il faut encore construire un vademecum de l’organisation de la vie de l’association au niveau académique, pour faire gagner du temps aux collègues se lançant dans l’aventure. Cela pourrait demeurer dans l’espace privé du site, cependant ce back-office n’est pas vraiment prévu pour cela, on ne peut que détourner le système de mise à l’évaluation. Mais cela peut suffire.

Retour sur l’assemblée générale de juin 2012

Elle était dense, presque autant de participation que l’AG fondatrice, malgré la RCBC et ses formations qui a plombé l’agenda des collègues. Le couplage avec l’AJI est à maintenir.

Site web

Statistiques de fréquentation : on compte 15 visites tous les jours y compris fériés, probablement par des robots, mais surtout 25 visites les jours ouvrés qui ont bien des chances d’être de la part de collègues.

Pour animer et garantir la pérennité et le développement de la fréquentation, il est nécessaire d’ajouter régulièrement du contenu. Avec un avis de réunion puis un compte-rendu à chaque réunion quelque part dans une académie, ce n’est pas sorcier d’assurer l’équivalent d’un mouvement sur le site chaque semaine (36 articles, on en est à 100 en un peu plus d’un an). Les outils proposés sont de loin les articles les plus visités.

Les articles sont présentés dans l’ordre alphabétique : on peut mettre en avant un article en mettant 01. ou autre nombre au début de son titre. Le point permet de "cacher" le nombre, qui sera cependant interprété pour le tri des articles en haut du classement.

Etienne rappelle quelques autres points de technique sur la manière dont le site fonctionne, et comment il est souhaitable d’y participer.

Ajouter un article « démarrer sa délégation académique » ? Non, mais envoyer ce vademecum aux gens qui nous contactent. FAQ, exemples d’ordres du jour, techniques de convocation et de publication sur le site, techniques de tenue de réunion et prise de notes

Corriger le bulletin d’adhésion pour envoi décentralisé aux trésoriers académiques (fait le 13/10)

Outils : Nicole Roux pense que des collègues sont hésitants à formuler des propositions, il y a des questions de légitimité. Trop de collègues attendent des consignes et ne prennent pas d’initiative, et leur faire apporter des propositions en réunion est difficile. Étienne répond qu’il suffit d’examiner collectivement la proposition d’un seul collègue, ça ne devait pas être insurmontable d’avoir un outil ou une pratique soumis de temps à autre.

Tribunes : sous réserve qu’il ne s’agisse pas de polémiques stériles, ces tribunes sont intéressantes pour alimenter la réflexion dans l’association et proposer des manières d’aborder le travail du comptable. Elles peuvent être collectives ou bien individuelles, mais dans ce cas sous réserve d’un minimum de consensus sur la pertinence de ce qui est dit.

Veille des débets et condamnations : Étienne demande aux collègues des diverses académies de participer, la jurisprudence est accessible sur le site de la cour de comptes. La CRC d’IDF et la CDBF sont faites, il faut élargir ce travail, l’idéal étant que chacun aille lire ce par quoi il se sent concerné, voire ce qu’il connaît déjà en partie par effet de voisinage.

Développer des thèmes de travail commun pour une meilleure visibilité au niveau national : cette manière de faire n’avait pas été saisis à ce jour. Fabien Thorel émet des propositions :

 le recouvrement, une rencontre avec des représentants de la chambre départementale des huissiers de justice est envisagée à Tours
 les conventions de groupement comptable
 barèmes sur les postes comptables ; une jurisprudence existe sur ce point (Amboise)
 le fondé de pouvoir

Les demandes d’audience au niveau national

La DGFIP nous reconnaît, Étienne André et Nathalie Ferdinand seront à la journée de formation du 25/10 à Paris sur les EPN.

Un programme de contacts avec diverses institutions est distribué entre les membres du bureau.

Préparation de l’assemblée générale de juin 2013

Fabien Thorel propose un thème : la formation. Il reste à s’assurer que cela sera compatible avec les travaux de l’AJI. Par formation, il entend celles :
 des comptables et de leurs fondés de pouvoir
 des ordonnateurs
 des collaborateurs parmi lesquels les gestionnaires

Cette journée pourrait pour la première fois prendre la forme d’un débat. Il faut exposer clairement la différence entre formation et information. « Ils savent, ils se démerdent »

Il n’existe pas de cahier des charges des formations : les formateurs définissent eux-mêmes le contenu de ce qu’ils doivent transmettre. Le renouvellement du vivier des formateurs est parfois tenté, mais il n’y a aucune réflexion sur les méthodes pédagogiques de la transmission des compétences.

Fabien pense qu’on peut inviter des responsables académiques de formation, Étienne cite celle de Créteil dont l’expérience dans la durée serait un atout. On peut donner aussi la parole à quelqu’un de l’AJI, qui propose désormais un catalogue de formations.

Pour le déroulé de l’AG, on peut conserver la matinée sur la vie de l’association et l’après-midi sur le thème ; avec l’augmentation du nombre de délégation académiques on devra peut-être cadrer les temps de parole. Il faudra demander le contenu de ces communications à l’avance, avec une date butoir.

Organisation matérielle : problème du coût d’une location à Paris. Un petit amphi possiblement gratuit dans Paris est espéré par Fabien,, la prochaine réunion de BN pourrait être l’occasion d’une visite, et un test des conditions d’accueil à la DP, pour envisager de payer un repas amélioré.

Les membres du bureau s’entendent sur les personnes à inviter à cette AG, sachant qu’ils doivent être impliqués dans la formation.

Répartition des tâches entre les membres du bureau

Il manque à définir des vice-présidents pour distribuer les activités et les responsabilités, par exemple pour l’organisation de l’AG. Karine Chartier soulève le problème de la qualité de membre du BN pour cela, ce qui suppose d’être délégué par son académie.

Prochaines dates : il faut deux bureaux avant l’AG, 8 février et 5 avril, à Paris ou pas trop loin.